Comme on dit souvent que la formation commence à la fin de ses études, beaucoup oublient ce principe et se privent par la même d’un avancement conséquent.
Il existe deux types de connaissances, celle académique qui s’apprend à l’école dans les salles de classes et les universités. Cette première forme reste souvent très générale ou basique autant pour du savoir intellectuel que manuel.
Ce qui compte avant tout consiste à obéir, se rendre docile, ingurgiter et recracher des informations avec un minimum de compréhension.
Le deuxième type de savoir est plus pratique et appartient au domaine de la rue. Il n’a pas besoin de formalisme particulier, peut s’assimiler de différentes manières et n’a pas non plus de frontières ni de barrières morales. Ce qui compte avant tout va résider dans l’utilité de sa mise en application.
Ce qui rebute certains enfants et adolescents à l’école et j’en ai fais partie, c’est à la fois le côté impersonnel d’un échange mais surtout, le non sens d’un acquis quelconque car beaucoup de notions assimilées ne servent pas dans la vie réelle.
Il s’avère souvent difficile d’appliquer un ordre, de surcroît qui viennent de la part d’enseignants pas toujours très pédagogues et sans comprendre aussi son utilité à part celui d’amener à faire de vous, un être déresponsabilise sur le plan intellectuel et qui ne réfléchit plus par lui même.
L’école peut sûrement former des bons citoyens, consommateurs, militaires, électeurs etc mais elle ne forme pas de gens riches.
La vraie richesse telle qu’elle soit vient de l’intérieur et de l’intuition et guide ses choix. Si ton esprit dit ceci et que ton coeur dit cela alors tu n’es plus en accord avec toi même.
Deux contradictions ne peuvent pas cohabiter mutuellement sans se détruire l’une et l’autre. Quand on appuie sur le frein et l’accélérateur, cela se passe séparément donc il s’agit avant tout de réconcilier les morceaux et afin d’harmoniser l’ensemble.
Aujourd’hui, le monde évolue à une vitesse importante et nécessite des capacités d’adaptation toujours plus rapides. Dans ce processus, il y a des gens qui ont compris combien le savoir permet la liberté.
Il faut encore le répéter mais celui qui détient du savoir possède aussi la liberté.
Celui ci s’apparente par des notions, savoirs faire et être spécifiques, ordonnés dans un but bien précis et déterminé. Chaque instant qui passe en est une opportunité.
Cela ne tient qu’à une ou une demi heure quotidienne afin de découvrir des vérités ignorées et qui peuvent changer sa vie à tout jamais.
Imaginons que vous lisez cet écrit maintenant, cela veut dire que votre curiosité vous à déjà poussée jusque là. La société actuelle a très peu d’ambition et elle incite plutôt à un nivellement vers le bas donc chercher à se développer donne déjà l’indice que vous savez vous distinguer de la masse pour monter vers les cieux.
Toutefois sans ailes et guides, on ne va pas très loin. Reconnaître qu’il manque des clés à son trousseau et identifier les bonnes portes à ouvrir donne de nouvelles perspectives.
Dès lors que l’on prend conscience de cela, on identifie le long chemin de traîne passé jusqu’alors où le bulot rivalise avec l’escargot.
Pourquoi ne pas devenir plutôt un jaguar ou un léopard?
Une seule connaissance peut faire toute la différence.
- Si l’on met 100€/mois sur une action comme axa et en en achetant parfois 3 ou 4 de celle ci, ce n’est pas un hasard.
- Si l’on décide de s’engager dans de la colocation meublée avec bail solidaire, ce n’est pas un hasard.
- Si l’on créer une société de nettoyage à sec en SARL, ce n’est pas un hasard.
- Si l’on mise 1 000€ sur une équipe de football qui va se faire reléguer, ce n’est pas un hasard.
- Si l’on fabrique sa maison par soi même à la sueur de son front sans aucun diplôme préalable, ce n’est pas un hasard.
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La richesse est ni de la chance ou du hasard mais le produit d’un effort concentré et continu en vue d’acquérir une meilleure compréhension et pratique du monde qui nous entoure afin de le façonner à son image.